C’est aujourd’hui à travers le prisme kaléidoscopique de l’extraordinaire diversité des musiques et danses du continent africain que Jazz à Vienne a décidé de revisiter cette œuvre emblématique de la musique symphonique française de la fin du 19e siècle. Pour ce faire, le conteur Soro Solo concocte une version totalement renouvelée du conte originel à la composition de Florent Briqué librement inspirée des mélodies et motifs de la pièce de Saint-Saëns. À travers des arrangements “tout couleur” intégrant des rythmes de rhumba congolaise, d’afrobeat nigerian, de soukouss et de salsa béninoise, pour s’aventurer même du côté du hip hop grâce au travail du chorégraphe Bouba Landrille Tchouda.